6 juin 2011
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16:33
On a entendu un chant vert véronèse dans les profonds couloirs du métro.
Les parisiens se mettent à courir dans tout les sens au risque d'être en retard à leurs boulots.
Un crissement de sable fin scande cette errance curieuse, et puis sur un parfum de vacances ils remontent à la surface. Ils tournent sur eux-même en constatant que la ville a disparu.
Ils ne vont pas tarder d'en faire autant. hah