30 octobre 2009
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Ses bas de cendre auraient dû m'alerter. Quelque part entre ses cuisses une braise discrète veillait sur mon souffle. Le baiser de son maître entre son cou et sa clavicule fit vibrer dans le creux de la main la pointe d'un sein tellement à sa place. Vraiment j'aurais dû me méfier, car entre nous une perle de nacre échappée de son collier brisé, rayonnait dans son nombril comme un phare de naufrageurs des amours. Du bout des lèvres j'allais cueillir les autres aux frontières intimes comme les miettes de nos folles indecences. Oui, j'aurais dû me méfier. Je n'étais pas le maître, j'étais le prisonnier. hah